Rentre après un long voyage (libre)

Le désert, mon domaine, mon refuge..
Je suis parti pendant trois semaines en terre inconnues pour explorer ce monde encore totalement étranger à mes yeux. Dans mes voyages en solitaire, je me suis aperçus que ce monde regorge encore des beautés agréables à la vue qui demande qu'à être découvert par mes propres yeux.

J'arrive enfin dans le grand désert qui appartient au mien depuis plusieurs générations qui se succède. Nous lions du désert nous connaissons parfaitement chaque recoin de ce vaste territoire sableux où il serait difficile de nous perdre dans ce désert qui s'étend à plusieurs kilomètres à la ronde. Dans le sable brulant, sentant sur mon dos la chaleur du divin soleil je marche droit devant moi croisant de tant à autres des fennecs ou autres espèces d'animaux qui vivent dans cette grande étendue désertique où règne le présage de la mort.

J'avais hâte de rentrer pour retrouver mon clan, dire à Mchanga à quel point elle m'a manqué, donner un coup de tête amical à mon père, peut-être enfin de prendre ma mère dans mes pattes avant... Je pressai le pas accélérant de plus en plus pour enfin courir dans le sable pour retrouver au plus vite ma famille... Mchanga... mon clan. Quoique je suis rejeté par les miens depuis ma naissance, je ne ressens aucune haine à leurs égard... juste que j'aimerais d'être enfin respecté, d'être attendu par tous les membres de mon peuple lors de mon retour de voyage comme aujourd'hui et qu'on m'accueil dignement.

Le problème, je rêve de trop pour l'instant c'est totalement un mirage. J'essayerais... Ji arriverait... je n'abandonnerais pas hors de question. S'il faut que j'attende jusqu'à la fin de mes vieux jours j'attendrais. Dans ma course, j'arrive enfin dans un lieu que je connais très bien, mon cœur dans ma poitrine battait très vite aux mesures que je sens au plus profondes de moi que je m'approche de la fin de mon voyage.

Qui sait certain sont déjà entrain de m'attendre.. alors que je suis pas encore rentrer je voie au loin à quelques kilomètres de ma position une silhouette. Je plissa les yeux gêner de la chaleur du désert pour observer dans mes foulés. Je ralenti m'approchant lentement sur la défensive..

(Sorry c'est cours, mais je me rattraperais )

HRP : Vu que ton sujet est libre, je me permet d'y répondre afin que tu puisses être actif !

[Je m'invite dans le RP itou]

Trois semaines.

Il y a quelque temps, Ahadi était partit. Il voulait voyager, découvrir le désert. Son âme voulait découvrir plus de sable, plus de soleil, il voulait connaitre son territoire. Partir temporairement de la maison pour pouvoir observer chaque recoin de ce monde si vaste, égoïste et cruel. Son fils unique et qu'elle n'aurait jamais du avoir était partit.
Depuis trois semaines.
Au début, Jangwa n'avait aucun problème à cela. En faites, cette idée de voyage lui avait même parut bonne, et elle avait tout de suite donné son accord. Un chasseur qui ne connaissait pas ses terres n'était il pas un chasseur inefficace? Le but était qu'il mette en mémoire tout ce qu'il pouvait, les moindres pièges exploitables, le plus petit recoin où acculer une proie. Tout pourrait lui être utile.
Mais bien évidemment, ce qu'elle pensait être une sortie de quelques jours commençaient à s'allonger. Pour devenir bine trop long.
La femelle s'assit sur la roche d'où Manueke s'adressait au Clan, sur la place qui lui était réservée, un peu en retrait. Les yeux perçants, elle scrutait l'horizon, les moustaches et la queue remuant d'agacement de ne pas voir son fils apparaitre. Une point d'inquiétude surgit dans son esprit; et si son fils était blessé? Elle la chassa immédiatement. Le jour d'avant, lasse de voir l'entrainement du mâle prendre du retard, elle avait envoyé une équipe d'éclaireur pour le retrouver. Si il était mort, ils l'auraient retrouver, attiré par les corbeaux. Pourquoi s'inquiéter? L'amour d'une mère, c'est vain. Vain. Inutile. Elle ne devait pas penser ce genre de choses.
Tendis qu'elle se matraquait ses pensés dans son esprit, des odeurs lui parvinrent. Celles des éclaireurs. Elle se leva, la queue dressée. Le meneur de patrouille se dirigea vers Jangwa. Il lui dit qu'ils avaient repérés Ahadi qui était en marche vers la hutte familiale.  
La femelle se leva, et partit aussitôt au pas de course vers l'endroit indiqué.
Quand elle fut hors de vue, elle se mit à courir. elle ne voulait pas l'avouer aux Curselanders, mais son fils lui manquait. Vraiment.

Bientôt, l'odeur d'Ahadi parvint à ses narines. Elle dressa ses oreilles, et cessa sa course pour une démarche plus digne. Dans sa tête, elle repassait la scène où elle verrait son fils.

C'est vrai que j'avais prévenu ma génitrice que je voulais partir pour explorer de territoires vastes, mais je ne voulais pas lui dire que mon voyage durait encore plus longtemps que prévu. Je voulais profiter d'être seul pour partir loin guider simplement par mes pattes.

À mon retour, je tombe nez à nez avec un lion adulte... blanc... oh tien la surprise de la journée. Sachant très bien que j'ai aucune chance au combat contre ce mâle adulte et de plus en remarquant qu'il me voulait aucun mal j'arrêtai d'être sur la défensive affichant un sourire posant mes yeux émeraude sur l'étrange pelage de l'étranger. Curieux, intriguait par sa couleur je le reniflai de ma position, agitant ma queue, penchant légèrement ma tête sur le côté me questionnant au sujet de la couleur de ces poils.

Je ne pensais pas croiser quelqu'un ici – je suis Œdipe, puis-je te demander ton nom ?

J'avale ma salive... décidément bizarre. Un étranger me demande mon nom... punaise je ne sais pas si je dois lui dire ou non... Bon je ne dois pas être timide ce n'est pas dans ma nature de l'être. Mais ces poils... me troublent énormément...


Je suis Ahadi..

Lui-dis-je doucement. Je souffle un bon coup ne voulant surtout pas offenser le mâle adulte qui fessait le double de ma taille et de mon poids. J'arrête aussitôt de me questionnait à son sujet me détendant face à lui. Lentement je baissa la tête totalement gênée de la situation..

Excusez moi. C'est la première fois que je voie un lion comme vous

Quand soudain, une odeur me parvient à mes narines... oh. oh... je connais très bien cette odeur. Si je serais nu je serais blanc comme l'étranger Œdipe face à cette odeur si reconnaissable, je lève les yeux vers le soleil le priant que tout son passe bien avec la lionne qui s'approche de ma position. J'aurais préféré que ça soit mon père Créon qui m'accueil de mon voyage surtout que je sais que j'étais absent dans les cours de ma génitrice pendant trois semaines.